Homoplasticus
Cette série d’images réalisées en partie grâce à l’intelligence artificielle a pour ambition de sensibiliser le sepctateur sur les conséquences de nos rejets plastiques en mer. A nous d’avoir l’intelligence naturelle de prendre conscience et de trouver des solutions à cette catastrophe écologique. Les microplastiques sont de petites particules de plastique d’une taille inférieure à 5 mm qui se retrouvent dans l’environnement. Ils peuvent être le résultat de la dégradation de plastiques plus grands ou de l’utilisation de produits contenant des microbilles de plastique, comme certains produits de soins personnels. Ces microplastiques sont un grave problème environnemental car ils sont ingérés par les animaux marins et peuvent perturber leur digestion et leur reproduction, entraînant une diminution de la population. Les microplastiques peuvent également être ingérés par les humains via les aliments de la mer, ce qui peut avoir des effets sur la santé humaine. Le problème des microplastiques est difficile à résoudre car ils sont très répandus et peuvent prendre des centaines d’années pour se dégrader complètement. Il est donc important de réduire notre utilisation de plastiques et de trouver des moyens de nettoyer l’environnement des microplastiques existants. Voici quelques chiffres sur la pollution des plastiques dans la mer et les océans : Chaque année, environ 8 millions de tonnes de plastique finissent dans l’océan, soit l’équivalent d’un camion de déchets plastiques déversé dans l’océan toutes les minutes. On estime que d’ici 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan, en poids. On estime qu’il y a environ 5,25 billions de microplastiques dans les océans du monde, avec une augmentation de 23 000 tonnes par an. Les animaux marins, tels que les tortues, les oiseaux de mer et les poissons, peuvent confondre les morceaux de plastique avec de la nourriture et les ingérer, ce qui peut causer des problèmes de santé graves voire mortels. La pollution plastique dans l’océan peut également avoir des impacts économiques, car elle peut affecter le tourisme et la pêche. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles l’homme ne prend pas toujours des décisions fortes pour l’environnement, même si les rapports scientifiques comme le rapport du GIEC mettent en évidence l’urgence d’agir : L’ignorance ou la minimisation des problèmes environnementaux : certaines personnes peuvent ne pas être au courant de la gravité de la situation ou minimiser les impacts environnementaux, ce qui peut les amener à ne pas voir l’importance de prendre des mesures urgentes. Les intérêts économiques : les intérêts économiques à court terme peuvent prendre le pas sur les intérêts environnementaux à long terme. Les industries qui génèrent des déchets plastiques, par exemple, peuvent être réticentes à adopter des pratiques plus durables car cela pourrait réduire leurs profits. La politique : les gouvernements peuvent être réticents à prendre des mesures fortes pour l’environnement si cela ne correspond pas à leurs priorités politiques ou s’ils craignent de mécontenter leur base électorale. La complexité des problèmes environnementaux : les problèmes environnementaux sont souvent complexes et interconnectés, ce qui peut rendre la prise de décision difficile. Par exemple, la réduction des émissions de gaz à effet de serre peut nécessiter des changements importants dans les industries, les modes de transport et les habitudes de consommation. La résistance au changement : les gens peuvent être réticents à changer leurs habitudes ou à adopter de nouveaux modes de vie, même si cela est nécessaire pour protéger l’environnement. Il est important de noter que les raisons varient d’une personne à l’autre et que la prise de décision environnementale est souvent influencée par des facteurs individuels, sociaux, politiques et économiques.